RECUEIL SUR FORT-MARDYCK : PREAMBULE
Préambule
Ce recueil d’informations a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©, Ă la mĂ©moire de:
Martial Raymond EVRARD
et de Germaine VERHILLE son épouse
Concessionnaire des Pompes Funèbres de Fort-Mardyck.
Pour leurs enfants,
Petits-enfants,
Et arrières Petits-enfants.
Martial Raymond EVRARD
et de Germaine VERHILLE son épouse
Concessionnaire des Pompes Funèbres de Fort-Mardyck.
Pour leurs enfants,
Petits-enfants,
Et arrières Petits-enfants.
Vous Ăªtes issus d’une lignĂ©e d’hommes et de femmes : courageux, tenaces, persĂ©vĂ©rants et ayant un fort dĂ©sir de libertĂ©.
J’ai souhaitĂ© vous faire dĂ©couvrir l’Ă©volution de votre filiation qui s’est opĂ©rĂ©e dans un contexte unique.
. D’une part dans une concession royale.
Étendue de terre Ă l’ouest de Dunkerque que le roi Louis XIV attribua Ă des familles de pĂ©cheurs et que vos aĂ¯euls, pĂªcheurs originaires de Marck dans le Pas de Calais, rejoignirent dans les tous dĂ©buts.
. D’autres part dans un environnement très particulier qui est celui du Dunkerquois avec des traditions que l’on ne trouve nul part ailleurs ainsi qu’une situation gĂ©ographique sur la mer qui durant des siècles fut convoitĂ©e par de nombreuses puissances Ă©trangères.
Votre filiation a toujours comptĂ© des marins : des corsaires Ă la pĂªche en Islande pendant que les Ă©pouses s’adonnaient Ă la pĂªche Ă la cĂ´te.
Mais les campagnes de pĂªches au long-court au dĂ©part de Dunkerque qui ont fait la gloire de la concession, se sont taries dans la première moitiĂ© du 20ème siècle. Les forts-mardyckois ont dĂ» alors se reconvertir comme tous les pĂªcheurs du Dunkerquois.
La navigation marchande et l’industrie ont alors remplacĂ© les campagnes de pĂªche.
L’Ă©conomie de la rĂ©gion a fait que les habitants de la concession ont souhaitĂ© abandonner leur statut qui limitait dans ses termes l’implantation d’industries.
Par ce livre je tiens à rendre hommage à votre père, grand père ou votre arrière grand-père, qui a beaucoup donné dans la concession.
Installé durant de très nombreuses années comme menuisier (il avait repris la succession de son père) mais surtout comme pompes funèbres dont il avait obtenu la concession exclusive pour le village.
Très connu et apprĂ©ciĂ© dans tout le village. Ce rĂ´le lui a permis d’Ăªtre en contact permanent avec toutes les familles qu’il savait rĂ©conforter et conseiller utilement lorsqu’elles Ă©taient confrontĂ©es au dĂ©cès d’un des leurs.
C’est frĂ©quemment qu’il Ă©tait appelĂ© la nuit par des familles dans la peine, dĂ©semparĂ©es, mais Il a toujours su rĂ©pondre Ă leurs attentes.
N’oublions pas qu’il Ă©tait dĂ©corĂ© de la mĂ©daille militaire, et que durant la dernière guerre il fut membre des FFI ((forces françaises de l’intĂ©rieur) du Pas de Calais.
MĂ©ditons sur le destin quelquefois tragique de ces hommes qui pendant plus de 250 ans surent, tout en restant fiers de leurs origines, s’adapter Ă l’Ă©volution de leur environnement.
En prĂ©servant un esprit communautaire d’entraide, une ardeur au travail et un souci très fort de la famille.
J’ai souhaitĂ© vous faire dĂ©couvrir l’Ă©volution de votre filiation qui s’est opĂ©rĂ©e dans un contexte unique.
. D’une part dans une concession royale.
Étendue de terre Ă l’ouest de Dunkerque que le roi Louis XIV attribua Ă des familles de pĂ©cheurs et que vos aĂ¯euls, pĂªcheurs originaires de Marck dans le Pas de Calais, rejoignirent dans les tous dĂ©buts.
. D’autres part dans un environnement très particulier qui est celui du Dunkerquois avec des traditions que l’on ne trouve nul part ailleurs ainsi qu’une situation gĂ©ographique sur la mer qui durant des siècles fut convoitĂ©e par de nombreuses puissances Ă©trangères.
Votre filiation a toujours comptĂ© des marins : des corsaires Ă la pĂªche en Islande pendant que les Ă©pouses s’adonnaient Ă la pĂªche Ă la cĂ´te.
Mais les campagnes de pĂªches au long-court au dĂ©part de Dunkerque qui ont fait la gloire de la concession, se sont taries dans la première moitiĂ© du 20ème siècle. Les forts-mardyckois ont dĂ» alors se reconvertir comme tous les pĂªcheurs du Dunkerquois.
La navigation marchande et l’industrie ont alors remplacĂ© les campagnes de pĂªche.
L’Ă©conomie de la rĂ©gion a fait que les habitants de la concession ont souhaitĂ© abandonner leur statut qui limitait dans ses termes l’implantation d’industries.
Par ce livre je tiens à rendre hommage à votre père, grand père ou votre arrière grand-père, qui a beaucoup donné dans la concession.
Installé durant de très nombreuses années comme menuisier (il avait repris la succession de son père) mais surtout comme pompes funèbres dont il avait obtenu la concession exclusive pour le village.
Très connu et apprĂ©ciĂ© dans tout le village. Ce rĂ´le lui a permis d’Ăªtre en contact permanent avec toutes les familles qu’il savait rĂ©conforter et conseiller utilement lorsqu’elles Ă©taient confrontĂ©es au dĂ©cès d’un des leurs.
C’est frĂ©quemment qu’il Ă©tait appelĂ© la nuit par des familles dans la peine, dĂ©semparĂ©es, mais Il a toujours su rĂ©pondre Ă leurs attentes.
N’oublions pas qu’il Ă©tait dĂ©corĂ© de la mĂ©daille militaire, et que durant la dernière guerre il fut membre des FFI ((forces françaises de l’intĂ©rieur) du Pas de Calais.
MĂ©ditons sur le destin quelquefois tragique de ces hommes qui pendant plus de 250 ans surent, tout en restant fiers de leurs origines, s’adapter Ă l’Ă©volution de leur environnement.
En prĂ©servant un esprit communautaire d’entraide, une ardeur au travail et un souci très fort de la famille.
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